Avec 250 000 habitants dans la ville-centre et près de 800 000 habitants à l’échelle de l’intercommunalité Bordeaux Métropole, Bordeaux compte parmi les grandes villes françaises. Le port sur lequel elle a autrefois assis son rayonnement occupe désormais une place secondaire à l’échelle nationale, mais la capitale régionale de Nouvelle-Aquitaine bénéficie d’une attractivité renouvelée. L’inscription de son centre historique sur la liste du Patrimoine Mondial de l’UNESCO en 2007 a donné une vitrine à la ville, en couronnant les efforts de réhabilitation entrepris à l’aube du XXIe siècle. Implanté sur les rives de la Garonne, au fond de l’estuaire de la Gironde, le « Port de la Lune » entretient avec son fleuve des relations ambivalentes, révélatrices des transformations urbaines.
Légende de l’image satellite
Cette image a été prise par un satellite Pléiades le 16/09/2018. Il s’agit d’une image en couleurs naturelles, de résolution native à 0,70m, ré-échantillonnée à 0,5m
Télécharger l’image générale
Contient des informations © CNES 2018, Distribution Airbus DS, tous droits réservés. Usage commercial interdit.
Repères géographiques
Présentation de l’image globale
Bordeaux : la métropole et son fleuve
Une grande ville portuaire atlantique sur un site de fond d’estuaire
Si Bordeaux compte historiquement parmi les grands ports européens, elle le doit autant à sa situation sur la façade atlantique qu’à la célébrité de son arrière-pays viticole. Dès le Moyen-âge, Bordeaux se développe grâce au commerce du vin, avec l’Angleterre notamment, qui occupe un rôle central dans le trafic portuaire jusqu’au XIXe siècle. Au XVIIIe siècle le port change d’échelle, devenant avec la première mondialisation une noeud emblématique du commerce triangulaire, et enfin l’un des grands ports coloniaux européens jusqu’aux années 1930.
A l’instar d’autres grands ports européens comme Nantes, Rouen, Londres, Rotterdam, Brême ou Hambourg, Bordeaux occupe une situation classique en fond d’estuaire à une centaine de kilomètres de l’embouchure de la Gironde, et à une vingtaine de kilomètres en amont de la confluence entre Garonne et Dordogne. Longue de 647 km et alimentée par un modeste bassin versant de 55.000 km², la Garonne possède un débit moyen de 650 m3/s au bec d’Ambès.
C’est à cette position que l’on doit la teinte marronâtre de la Garonne à Bordeaux. En effet, le fleuve - caractérisé par une importante charge alluviale dans sa partie aval - est animé par le puissant balancement des marées : le marnage peut atteindre 6 mètres à Bordeaux, où le flot - marée montante - dure de trois à quatre heures, tandis que le jusant - marée descendante - dure de sept à huit heures.
Le lit mineur du fleuve, visiblement régularisé, est large et va s’évasant vers l’aval : 500 mètres au niveau du Pont de Pierre, au cœur de la ville, 750 mètres une dizaine de kilomètres en aval en haut de l’image. Sur la rive gauche, le centre-ville historique occupe la rive concave d’un méandre, afin de minimiser le risque d’inondation : ce site lui confère la forme en croissant à l’origine de l’expression « Port de la Lune ».
Mais dès la deuxième moitié du XXe siècle, la position en fond d’estuaire semble de plus en plus handicapante. La distance à parcourir depuis l’Atlantique et la sédimentation du chenal de navigation nécessitant son dragage régulier, et donc couteux, rendent le port de Bordeaux de moins en moins compétitif face à ses concurrents français et européens. Les vins de Bordeaux rejoignent aujourd’hui le port du Havre en camion avant leur exportation par bateau.
La dissymétrie des rives et l’enjeu du franchissement du fleuve
La topographie et l’aménagement des rives sont marqués par une forte dissymétrie. La rive gauche apparaît densément urbanisée, une trame urbaine serrée s’y déploie en auréoles concentriques à partir du noyau ancien. On distingue ainsi nettement le boulevard qui ceinture la ville ancienne, à un peu plus de deux kilomètres du front de fleuve.
A l’inverse, la rive droite est urbanisée de manière beaucoup plus diffuse, et ce de manière récente. Le lobe convexe du méandre est en effet exposé à un risque d’inondation accru, ce qui a limité l’expansion urbaine. Près de la moitié de la surface urbanisée est, de fait, constituée de zones industrielles.
Le lit majeur inondable est surplombé à l’est par le plateau de l’Entre-deux-Mers, duquel il est séparé par un coteau abrupt d’orientation nord/sud entaillé de petits vallons : ces pentes boisées se détachent nettement sur l’image. On observe sur le plateau de nombreux lotissements pavillonnaires à la trame viaire curviligne, opérant un mitage des espaces agricoles.
La largeur du fleuve et les importants courants de marée qui l’animent, les contraintes d’aménagement de la rive droite et, surtout, la volonté de ne pas opposer d’obstacle à la pénétration de navires de grande taille, expliquent le petit nombre de ponts reliant les deux rives : six en tout et cinq visibles sur l’image, dont deux seulement sont antérieurs à 1965.
Le franchissement de la Garonne en aval du centre-ville a nécessité l’édification de ponts spectaculaires, bien visibles sur l’image : un pont suspendu, le Pont d’Aquitaine, ouvert en 1967, et un pont levant, le Pont Jacques Chaban-Delmas, ouvert en 2013. Ils permettent aux navires de grande taille de remonter jusqu’au Port de la Lune. Alors que l’activité portuaire a laissé place à la mise en tourisme d’une ville patrimonialisée, il s’agit moins, aujourd’hui, de navires de commerce, que de navires de croisière.
Le Lac et au-delà : l’artificialisation de la plaine alluviale
En aval de Bordeaux, la Garonne s’écoule dans une plaine alluviale très large de près de 7 kilomètres en haut de l’image et très humide, aux paysages de marais poldérisés. Ces terres gagnées sur l’estuaire, localement appelées « palus », sont découpées en parcelles géométriques par les canaux de drainage ; ils apparaissent dans des tons de vert et de brun. Elles laissent parfois place à des lacs (bleu foncé), d’origine également artificielle.
L’évolution de ces espaces situés au nord de l’agglomération traduit les effets d’un double processus : la descente des infrastructures portuaires vers l’aval, couplée à l’étalement urbain de la métropole bordelaise. En aval du Pont d’Aquitaine, et plus particulièrement en rive droite, s’étendent en effet d’importantes zones industrialo-portuaires, reconnaissables à la succession des usines, entrepôts, cuves d’hydrocarbures, gares de fret, etc.
Sur la rive gauche, le vaste lac artificiel aménagé aux portes de la ville est au cœur d’un nouveau quartier sorti de terre dans les années 1960 à l’initiative de Jacques Chaban-Delmas, maire emblématique de Bordeaux de 1947 à 1995, concentrant des activités consommatrices d’espace (zone commerciale, Parc des Expositions, stade…).
Entre logiques de protection avec une partie des palus classée en réserve naturelle, activités agricoles, industries et urbanisation, l’artificialisation de la plaine alluviale de la Garonne ne va pas sans soulever des conflits d’usages.
Le fleuve retrouvé : processus de patrimonialisation et marketing territorial
Bordeaux doit sans nul doute à sa fonction portuaire ses plus beaux héritages urbanistiques. Toutefois au XXe siècle le port a fini par couper la ville de son fleuve : une enfilade de docks, de plus en plus dégradés à mesure que le trafic portuaire décroit, le dérobe à la vue en occupât tous les quais.
Au début du XXIe siècle, les grands travaux de rénovation / réhabilitation du centre-ville et de la façade des quais s’appuient sur un discours performatif : la ville renoue enfin avec son fleuve. Sous l’égide d’Alain Juppé, maire de 1995 à 2019, la valorisation, à travers les choix d’aménagement, d’un hyper-centre tourné vers le fleuve, vient à l’appui d’une politique de marketing territorial.
Celle-ci vise à la fois la construction d’une image de marque à l’adresse des touristes français et internationaux, dont le nombre connaît un essor important depuis le classement par l’UNESCO, et le renforcement de l’attractivité métropolitaine aux échelles nationale et européenne alors que depuis les années 2000 la seule ville-centre connait un regain démographique notable.
Zooms d’étude
Zoom1. L’hypercentre bordelais : valoriser un urbanisme de prestige tourné vers le fleuve
Le centre historique de Bordeaux superpose les héritages urbanistiques. La trame viaire a conservé les anciens cardo et decumanus du plan gallo-romain (respectivement rue Sainte-Catherine et cours de l’Intendance / cours du Chapeau Rouge aujourd’hui, à l’intersection desquels se trouve le Grand Théâtre). On devine également la forme d’amphithéâtre du Palais Gallien au sud-ouest du Jardin Public.
Mais c’est surtout l’urbanisme de prestige hérité de l’apogée du commerce triangulaire au XVIIIe siècle qui fait la célébrité de Bordeaux. On repère sur l’image la somptueuse Place de la Bourse érigée en front de fleuve avec son plan symétrique typique de l’architecture classique, qui témoigne de l’importance du port de commerce dans la prospérité de la ville. Au nord-ouest de cette place, le « Triangle d’Or » formé par les Allées de Tourny, du nom de l’Intendant qui fut le grand aménageur de Bordeaux au XVIIIe siècle, le cours Georges Clémenceau et le cours de l’Intendance, avec le Grand Théâtre à l’un de ses sommets, témoigne également de cette opulence.
L’immense place des Quinconces, constituée d’une vaste esplanade en front de fleuve flanquée de deux promenades arborées, et dominée par la colonne des Girondins, date quant à elle du XIXe siècle et elle remplaça alors d’anciennes fortifications.
Il faut attendre le mouvement de patrimonialisation (réhabilitation du bâti ancien, piétonisation, labellisation « Patrimoine mondial »…) engagé au début du XXIe siècle pour voir le front de fleuve à nouveau valorisé. Les anciens docks sont alors remplacés par une large promenade végétalisée qui permet une véritable mise en scène du waterfront que constitue la façade des quais XVIIIe, avec le fameux « Miroir d’eau » en avant de la Place de la Bourse.
Image du satellite Pléiades 1A du 26/05/2020
Zoom 2. De Saint-André à Saint-Michel : la mise en tourisme du Vieux Bordeaux
De la cathédrale Saint-André à la basilique Saint-Michel, le Vieux Bordeaux trahit les héritages de la ville médiévale par la trame incurvée de certaines rues. Les édifices religieux ponctuent le tissu urbain, repérables pour les plus élevés à leur ombre portée : flèches et clocher de la cathédrale, clocher de Saint-Michel ; les deux édifices possèdant un clocher indépendant en raison de la fragilité des constructions sur un sol marécageux.
Les anciennes portes constituent autant de monuments remarquables : Grosse Cloche (la plus ancienne, qui donne sur le cours Victor-Hugo), Porte de Bourgogne (face au Pont de Pierre), Porte Cailhau (sur la façade des quais, au nord de la précédente) et Porte d’Aquitaine (sur la place de la Victoire) peuvent être aperçues sur l’image.
Les quartiers, longtemps populaires, de Saint-Pierre et Saint-Michel, connaissent à partir des années 2000 une réhabilitation progressive du bâti, qui s’accompagne d’une réduction graduelle de la présence automobile par la piétonisation de rues et de places (voir par exemple le parvis de la cathédrale Saint-André, la place de la Victoire…) et la mise en place d’un tramway en site propre.
La revalorisation de ce riche patrimoine urbain est le prélude à sa mise en tourisme, mais aussi à un processus de gentrification, dont le front progresse du nord (hypercentre, cf. zoom 1) vers le sud (quartier Saint-Michel, connu pour son marché aux puces et son importante population issue de l’immigration).
Image d'un satellite Pléiades du 02/04/2012
Zoom 3. Des Chartrons à la Cité du Vin : du négoce du vin à l’œnotourisme
Au nord de la place des Quinconces, le long de la Garonne, s’étend le quartier des Chartrons, ancien faubourg dont le développement est historiquement lié à l’implantation des négociants en vin étrangers. L’âge d’or du port de Bordeaux aux XVIIe-XVIIIe siècles suscite l’essor du quartier, qui connaît ensuite au XXe siècle un processus de déclin et de marginalisation.
Au début du XXIe siècle, s’engagent la restauration de la façade des quais, la réhabilitation des anciens docks - ces derniers, reconvertis en galeries commerciales, sont visibles sur l’image, le déploiement du tramway, et avec eux un processus de gentrification qui progresse en direction du nord jusqu’à atteindre le quartier populaire de Bacalan, au-delà des bassins à flot.
C’est à Bacalan, en front de fleuve, dans le secteur autrefois peu prisé de l’ancienne base sous-marine, qu’est inaugurée en 2016 la nouvelle Cité du Vin. L’édification de ce lieu d’exposition à l’architecture ostentatoire, qui revisite l’imaginaire d’un port lié au vin, manifeste l’ambition de Bordeaux de devenir une destination touristique au rayonnement mondial.
Image d'un satellite Pléiades du 02/04/2012
Zoom 4. La Bastide (ré)aménagée : du fleuve-coupure au fleuve-couture
Sur la rive droite de la Garonne, le quartier de la Bastide ne se développe qu’au début du XIXe siècle, à la suite de la construction du Pont de Pierre en bas de l’image. L’urbanisation se déploie essentiellement à l’est de l’avenue tracée dans le prolongement du pont (avenue Thiers). L’ouest, presqu’uniquement constitué de marais, accueille des terminaux portuaires desservis par le chemin de fer. La trame des anciens « palus », formée d’étroites parcelles allongées perpendiculaires au fleuve, se devine encore dans l’organisation de l’espace.
Le relatif enclavement du quartier de la Bastide, son paysage industriel et sa composition sociale à dominante ouvrière, contribuent pendant longtemps à sa marginalisation, le fleuve matérialisant une puissante ségrégation socio-spatiale.
Frappé par la désindustrialisation dans le dernier quart du XXe siècle, le quartier fait l’objet d’importantes opérations de rénovation ou de réhabilitation au début du XXIe siècle, qui accompagnent la dynamique de métropolisation à l’œuvre à l’échelle de la ville. On peut observer sur l’image les importantes friches ferroviaires correspondant à la desserte des anciennes gares d’Orléans (en front de fleuve, au nord du Pont de Pierre, aujourd’hui occupée par un cinéma multiplexe) et de la Bastide, ainsi qu’à celle des usines et entrepôts, aujourd’hui remplacés (par des immeubles d’habitation, un jardin botanique et une antenne du campus universitaire au nord de l’ancienne Gare d’Orléans), reconvertis ou simplement démantelés (en haut à droite de l’image par exemple). Une promenade arborée longe désormais le fleuve, dont elle permet de contempler l’autre rive.
La première ligne du nouveau tramway, ouverte en 2003, emprunte le Pont de Pierre pour relier la Bastide à l’hyper-centre. Et le Pont Jacques Chaban-Delmas, construit en 2013 (en haut de l’image), vient parachever le désenclavement de la Bastide et son intégration à la métropole bordelaise. Le quartier s’affirme ainsi comme une centralité secondaire, accueillant notamment un site universitaire et de nombreux sièges régionaux d’entreprises du tertiaire (dont le nouveau siège du grand quotidien régional Sud-Ouest). Cette mutation fonctionnelle modifie en profondeur la composition sociale du quartier où, comme dans les autres quartiers populaires en position péricentrale (Saint-Michel et Belcier au sud, Bacalan au nord), progresse un front de gentrification.
Image d'un satellite Pléiades du 02/04/2012
Zoom 5. Mériadeck : un urbanisme fonctionnaliste qui tranche dans le paysage urbain bordelais
En position péricentrale, l’urbanisme fonctionnaliste du quartier de Mériadeck (autre legs de l’aménagement volontariste de Jacques Chaban-Delmas) contraste avec le reste du centre historique. Issu d’une opération de rénovation datant des années 1960, il est constitué de tours typiques de l’architecture sur dalle, dont l’ombre portée est bien visible sur l’image. Dans la deuxième moitié du XXe siècle, le port, qui a déjà beaucoup décliné, a entamé son inexorable migration vers l’aval, et les choix urbanistiques reflètent l’évolution d’une ville tournant le dos à son fleuve.
L’inclusion de ce quartier dans le périmètre patrimonialisé par l’UNESCO peut surprendre, mais traduit probablement une conception extensive du patrimoine, soucieuse de ne négliger aucun chapitre significatif de l’histoire urbaine.
La patrimonialisation ne résout toutefois pas les problèmes d’aménagement que rencontre le quartier : le modèle de l’architecture sur dalle, dont les bâtiments ont mal vieilli, n’a jamais rencontré le succès escompté. Si Mériadeck a en partie bénéficié de travaux de rénovation, et conserve ses fonctions administratives, il apparaît aujourd’hui moins attractif que les nouveaux quartiers tels que la Bastide réaménagée (cf supra).
Image d'un satellite Pléiades du 26/05/2020
Zoom 6. Le Grand Parc : un grand ensemble singulier
Le Grand Parc constitue l’autre surprise du classement de l’UNESCO. Les tours et barres de ce grand ensemble typique des grandes opérations de logement social des années 1960/1970 dominent un tissu urbain traditionnellement très bas à Bordeaux. L’aménagement du quartier s’inscrit dans le processus de croissance urbaine vers le nord, par la viabilisation progressive de terrains marécageux (cf supra).
Singulièrement, le quartier occupe une position péricentrale, sans coupure nette avec le reste du tissu urbain : à l’échelle d’une agglomération où la plupart des grands ensembles sont relégués sur les coteaux de la rive droite (cf dossier Bordeaux agglomération), il s’agit d’une exception.
Quartier Prioritaire de la Politique de la Ville, le quartier du Grand Parc concentre une importante pauvreté et rencontre les difficultés communes à la plupart des grands ensembles.
Image d'un satellite Pléiades du 02/04/2012
Images complémentaires
L’écoquartier Ginko : redynamiser le quartier du Lac ?
Repères géographiques
Image du satellite Pléiades 1B du 25/08/2020
Issu d’un programme d’aménagement volontariste datant des années 1960 (cf supra), le quartier du Lac reste avant tout associé au Parc d’Exposition et la vaste zone commerciale qui bordent le plan d’eau au nord et à l’est.
Lancée en 2010, la construction du nouveau quartier Ginko doit s’achever en 2022. Les promoteurs du projet (Bordeaux Métropole et municipalité de Bordeaux pour la maîtrise d’ouvrage, Bouygues Immobilier pour la construction) misent sur l’utilisation du concept en vogue d’ « écoquartier », et mettent en avant les qualités paysagères d’un quartier construit autour de canaux, en front de lac, à proximité d’une petite plage artificielle.
Le quartier connaît un succès mitigé, car il pâtit de nuisances sonores importantes liées à la proximité de la rocade et d’un gros échangeur, ainsi que du voisinage du quartier d’habitat collectif des Aubiers.
D'autres ressources
Sur le site Géoimage : dossier du même auteur
Isabelle Greig : L’agglomération bordelaise : croissance métropolitaine et étalement urbain
Contributrice
Isabelle Greig, Professeure de géographie en CPGE, Lycée Pierre d'Ailly, Compiègne