A la pointe du Finistère dans un site de rade exceptionnel, Brest est une agglomération fondée historiquement sur ses fonctions militaires, qui y demeurent considérables. Pour autant, depuis plusieurs décennies, l’économie métropolitaine s’est sensiblement diversifiée vers les nouvelles technologies, les services et les loisirs tout en se réappropriant son espace et de son histoire maritime et en recomposant son territoire. Grâce à d’importantes opérations urbaines, ses dynamiques spatiales laissent de plus en plus de place aux Brestois, tout en s’ouvrant toujours plus vers la mer.
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Cette image de Brest, ville portuaire bretonne, a été prise par un satellite Pléiades, le 27 aout 2017. Il s’agit d’une image de résolution native à 0,70m, ré-échantillonnée à 0,5m.
L'image ci-contre indique quelques repères géographiques de l’agglomération de Brest.
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Présentation de l'image golbale
De « Brest même » à Brest Métropole Océane :
entre destruction – reconstruction – reconversion – réappropriation, une recomposition spatiale à l’œuvre
Un site de rade exceptionnel largement valorisé par les fonctions militaires et maritimes
Cette image présente le versant nord de la rade de Brest, située à la pointe du Finistère, et à l’est la vaste presqu’île de Plougastel-Daoulas s’éparée par la vallée de l’Elorn. A l’échelle régionale, la pointe du Finistère est elle même formée de trois pointes isolant deux vastes ensembles maritimes pénétrant largement dans les terres : la rade de Brest au nord, la baie des Trépassés au sud. La pointe nord s’achève à la pointe Saint Mathieu, la pointe centrale est constituée par la presqu’ile de Crozon, en forme de croix car elle même constitué de trois pointes (Pointes des Espagnols, Pointe de Pen Hir, Cap de la Chèvre), et enfin la pointe sud qui s’achève par la fameuse Pointe du Raz. Ce découpage des côtes s’y traduit par une vie maritime très ancienne et encore importante (Camaret, Douarnenez, Brest bien sur). Comme pointe extrême de la vaste péninsule bretonne, cette sensible avancée dans l’océan atlantique en fait un finistère et lui confère un rôle géostratégique majeur.
Comme le montre l’image, la rade de Brest constitue un vaste plan d’eau navigable toute l’année de 180 km², dont on ne voit donc sur l’image qu’une partie. Accessible aux navires de grand tonnage en raison de sa profondeur et bien abritée des violentes tempêtes océaniques, elle constitue un site d’abri exceptionnel à l’échelle du littoral atlantique et de la Manche. En effet, par comparaison, le port de Cherbourg - lui aussi à vocation militaire, à la pointe du Cotentin – doit être protégé du large par une succession de grandes digues qui nécessitèrent de lourds investissements. Alors que du côté britannique de l’autre côté de la Manche la base militaire navale de Plymouth, historiquement la vieille rivale de Brest, se réfugie dans l’étroit ria, terme qui définit une vallée fluviale envahie par la mer, de la Tamar.
La rade est fermée au sud par la longue presqu’île de Crozon qui accueille dans sa partie nord la base de l’Ile longue. Celle-ci abrite les SNLE (sous-marins nucléaires lanceurs d’engins), c’est-à-dire dotés de missiles de très longue portée emportant plusieurs têtes nucléaires, de la Force Océanique Stratégique (F.O.S). Ces systèmes d’armes et cette base constituent donc le centre névralgique de la dissuasion nucléaire française à l’échelle mondiale. Ceci explique en particulier la partie noire du sud de l’image réalisée afin de masquer la base de l’île Longue et ses dépendances pour des raisons de confidentialité.
A l’ouest, la rade est reliée à l’océan Atlantique, nommé à cet endroit la mer d’Iroise, par un passage étroit de seulement 1,8 km de large, c’est le « goulet de Brest ». Verrouillé au sud par la pointe des Espagnols, ses abords ont été protégés et défendus par de nombreux ouvrages fortifiés. Choisi comme grand port militaire depuis Louis XIII et Richelieu, Brest se développe comme une ville d’Etat dont l’économie a été largement dominée par ses fonctions militaires avec la Préfecture maritime de l’Atlantique, une importante base navale et des arsenaux qui construisent, par exemple, le porte-avion Charles de Gaulle à propulsion nucléaire mis en service de 2001.
Si la ville ne fut jamais prise par les forces espagnoles ou anglaises, la défaite de 1940 la livre à la Kriegsmarine nazie qui la transforme entre 1940 et 1944 en une redoutable base d’attaque dans la guerre navale de l’Atlantique. Durant la Seconde Guerre mondiale, l’agglomération subie plus de 165 bombardements alliés qui en détruisent très largement la ville-centre et les infrastructures. Du fait de son caractère stratégique et alors que les forces d’occupation s’accrochent aux poches de l’Atlantique, la ville n’est enfin libérée que le 18 septembre 1944 après 45 jours de sièges.
Les fonctions militaires au cœur des fonctions métropolitaines de Brest
Du fait de sa présence historique, du caractère stratégique de ses missions et des dépenses et investissements réalisés localement qui atteignent environ 740 millions d’euros par an, l’activité militaire joue toujours un rôle majeur dans l’économie métropolitaine brestoise. La filière Défense - avec ses emplois directs, indirects et induits - est estimée à 60.000 salariés et représente une injection de 2,3 milliards d’euros par an dans l’économie locale.
Les armées représentent en effet environ 16.000 emplois directs, souvent qualifiés ou très qualifiés, et de nombreux emplois indirects. Les 13.000 emplois directs à Brest y représentent 15 % de l’emploi salarié total, les 3.500 emplois de la presqu’île de Crozon y représentent 48 % de l’emploi salarié total. A ceci s’ajoutent environ 3.500 emplois indirects, sans compter les salariés d’un certain nombre d’entreprises spécialisées dans les industries de défense (cf. DCNS ou Thales avec 4.400 salariés). Enfin, on estime à 37.000 personnes les retraités de la Défense vivant dans l’agglomération et ses environs.
Brest, sa rade et cette partie du Finistère accueillent de nombreuses activités militaires. A Brest même se trouvent la base navale, le Lycée naval, un hôpital, l’ENSTA (Ecole Nationale supérieure des techniques avancées) et le SHOM (Service hydrographique et océanographique de la Marine). Dans l’agglomération se trouvent un site pyrotechnique à Le Relecq-Kerhuon et un Centre de renseignement et de communication à Pencran. Enfin, dans la presqu’île de Crozon se trouvent la base de l’Ile Longue, un site pyrotechnique, l’Ecole navale, la Base aéronautique navale à Lanvéoc et un Centre parachutiste d’entrainement aux opérations maritimes à Roscanvel.
En particulier depuis 2000, Brest accueille l’Amiral commandant la Force océanique stratégique (AL-FOST) qui a autorité sur les quatre SNLE basé à l’Ile longue et les six sous-marins nucléaires d’attaque (SNA) basés à Toulon. Dans ce cadre, les 45 bâtiments de la Force d’action navale (guerre des mines, lutte anti-sous-marine) de Brest jouent un rôle majeur pour sécuriser le déploiement des SNLE dans les océans mondiaux dans lesquels ils vont patrouiller en permanence.
L’agglomération de Brest : une forte croissance des périphéries
En rive nord de la rade se déploie l’agglomération de Brest bien visible au centre de l’image. De son site originel sur la rivière Penfeld, elle a connu depuis une très forte extension urbaine et démographique. Si la population de la ville-centre stagne avec ses 139.000 habitants, celle de Brest Métropole Océane (B.M.O.), son agglomération de huit communes associées, augmente pour atteindre les 208.000 habitants.
Brest-centre s’est vidée ainsi en partie au profit de B.M.O., en particulier de sa première couronne urbaine bien repérable sur l’image. A l’ouest le long du littoral se trouve Plouzané, au nord Guilers et Bohars, au nord-est Gouesnou et Guipavas (aéroport), à l’est Le Relecq-Kérhuon, séparée de la presqu’île de Plougastel par l’Elorn, la rivière de Landerneau. Quant aux deux ponts, ceux de Plougastel et de l’Iroise, ils réunissent le pays du Léon, qui s’étend au nord, à la Cornouaille, qui s’étend au Sud.
Dans le coin sud-est de l’image, l’Aulne, rivière de Châteaulin, rejoint l’Elorn dans la rade de Brest, vallée ennoyée dont la superficie réelle a été considérablement réduite, secret défense oblige, pour occulter la presqu’île de Crozon, site stratégique abritant la F.O.S.
La rade de Brest est particulièrement attrayante pour la croisière et la régate. Brest accueille les grands rassemblements de gréements traditionnels tous les quatre ans et c’est un port de départ pour des événements maritimes majeurs comme les Mini-Transats, la Solitaire du Figaro, les Semaines de vitesse, les Grands Prix des Multicoques, la Formule 40, les records autour du monde (Trophée Jules Verne ou solitaire) et les traversées de l’Atlantique.
Zooms d'étude
La Penfeld et son port militaire
Le cœur historique des fonctions militaires
Si sa construction est lancée en 1631/1635, la base navale de la Marine nationale de Brest est aujourd’hui la seconde base militaire navale française après Toulon. Elle est composée, comme on peut le voir sur l’image, de nombreux quais, épis et jetées qui isolent de nombreux bassins (Tourville, Pontaniou, Salou, Laninon, de la Pointe) et de nombreux bâtiments spécialisés.
Depuis Richelieu, amiral de France en 1631, on construisait des navires de guerre sur les abords de la rivière Penfeld, au pied du château. Aujourd’hui, on ne construit plus de bateaux à Brest. Au cœur de la ville-centre, l’arsenal fonctionna longtemps comme une enclave fermée et isolée. Devenu un espace militaire surdimensionné, il sert aujourd’hui pour l’essentiel à l’accueil, entretien et maintenance de l’escadre de l’Atlantique.
La libération d’anciennes emprises militaires : ouverture et reconversion
Le château, dont on distingue les tours et l’architecture bastonnée, est visible sur l’image au-dessus du port de plaisance. Il abrite le musée de la Marine. Cette dernière a rendu à la vie civile un bassin et des terre-pleins. Le bassin ainsi libéré est devenu un port de plaisance convoité par les marins car plus proche de l’océan Atlantique que le port du Moulin Blanc, protégé des tempêtes par de grandes digues visibles sur l’image. Sur les terre-pleins, de nombreux commerces et restaurants se sont installés.
De l’autre côté de l’embouchure de la Penfeld, on distingue la base sous-marine de Brest, le plus grand bunker construit par les Allemands pendant la Seconde Guerre mondiale. Ce bassin accueille toujours des bâtiments militaires face à la nouvelle Marina. Il n’est donc pas rare que voiliers et navires militaires se croisent au sortir de la ria.
Base d’intervention sur le rail d’Ouessant
A droite sur l’image, on distingue le port de pêche où mouille en particulier l’Abeille Bourbon, un remorqueur d'intervention, d'assistance et de sauvetage (RIAS) français, long de 80 mètres avec une force de traction de 200 tonnes. Propriété de la Marine marchande, il est affrété par l'Etat français pour intervenir en mer à n'importe quel moment. Le rail d’Ouessant est l’un des plus fréquentés du monde avec chaque jour plus de 150 cargos. Créé en 1979, après la marée noire de l’Amoco Cadiz, ce passage géostratégique est surveillé par la Marine nationale.
Une avancée de la terre sur la mer accueille de multiples activités maritimes
Un port spécialisé dans les importations et exportations agroalimentaires
C'est au Second Empire, sous l'impulsion de Napoléon III, que débute la poldérisation du littoral brestois. En 1856, un pont franchit la Penfeld, le chemin de fer arrive à Brest en suivant et le port de commerce tel que le connaissent les Brestois voit le jour en 1865. La Criée de Brest se situe au 3ème éperon du port de commerce à Brest ; elle a été mise en fonction en octobre 2015.
Le port de commerce, qui suit le port traditionnel vers l’est sur l’image, est étroitement associé au boom des industries agroalimentaires bretonnes des dernières décennies en étant branché directement sur un vaste complexe productif organisant son hinterland. Il présente une double fonction, importatrice et exportatrice.
A l’importation, Brest reçoit par cargos puis transforme les matières premières agricoles qui vont servir d’aliment de base pour le bétail (porc, volaille…). Ainsi, l’usine Bunge - vendue par le puissant groupe étatsunien Cargill en 2016 - assure la trituration du soja et autres graines (colza, tournesol…) importées pour produire l’alimentation animale nécessaire aux nombreux élevages hors-sols.
A l’exportation, le port de Brest permet aux industriels bretons d’exporter leurs productions agroalimentaires vers le marché mondial (Golfe persique, Chine…), la Bretagne étant la 1er région agricole de France et la 1er région agroalimentaire d’Europe. Le terminal frigorifique et l'entrepôt EFB (entrepôt frigorifique brestois) permettent ainsi de stocker les viandes congelées – la Bretagne étant la 1ère région française pour la production et la transformation de viande - exportées vers le Moyen-Orient. Un autre magasin sert à stocker les agrumes et les plants de pommes de terre qui arrivent chaque année du Maroc. On repère également des silos verticaux visibles sur l’image grâce à leur forme arrondie, une station de chargement/déchargement rail/route et trois quais de déchargement (700 mètres de linéaire en quais, tirant d'eau jusqu'à – 13 mètres).
Vers l’est, la zone industrialo-portuaire de Saint-Marc, d’une cinquantaine d’hectares précédée d’un terre-plein gagné sur la rade, est dominée par l’activité de la réparation navale. En arrière de la cale de radoub, 16 hectares sont réservés à la réparation navale ainsi qu’aux réservoirs de gaz et de pétrole. Un peu après la forme n°3, un récupérateur y est installé pour le recyclage des métaux ainsi qu’un nouveau terminal sablier.
Un espace dédié aux loisirs et tourisme
En poursuivant vers l’est, on trouve 14 hectares de terre-pleins qui avec l'aménagement de 40 hectares disponibles derrière Océanopolis – musée océanographique dont on distingue les toitures blanches et le parking arboré - accueilleront les activités liées aux énergies renouvelables. Le chantier devrait s'achever en 2020. Océanopolis n’est pas seulement un musée océanographique, c’est aussi une plateforme scientifique unique en Europe, spécialisée notamment dans l’étude du plancton.
On distingue enfin le port de plaisance du Moulin Blanc plus ancien que celui du château, avec plusieurs écoles de voile puis une plage en fond de baie. Par ailleurs, dans un rayon de 20 km autour de Brest, le littoral est préservé, très peu bétonné, donc propice aux loisirs de plein air et tourisme balnéaire.
Un très grand pôle de compétitivité et scientifique tourné vers la mer
Sur ce zoom, à l’ouest de Brest, on situe d’abord le port de St Anne du Portzic puis la commune de Plouzané, sur laquelle s’est installé le pôle de compétitivité brestois, face à la mer. Celui-ci fait de Brest le 1er pôle scientifique maritime du pays.
La pointe bretonne rassemble en effet ici des fleurons nationaux des sciences marines, de la recherche et de l’innovation : l’Ifremer, le CEDRE, l’Université de Bretagne occidentale (UBO), l’Institut Polaire Paul-Émile Victor, l’Institut Universitaire Européen de la Mer (l’IUEM), le Parc naturel marin d’Iroise, l’Agence Nationale des Aires Marines Protégées, le Service Hydrographique et Océanographique de la Marine (SHOM), IRD, etc. Sans compter les grandes écoles et toutes les entreprises de pointe qui étudient les technologies marines. Les géographes brestois sont notamment formés à l’IUEM.
L’étalement urbain brestois
En haut, à droite de l’image, on distingue la ZUP (Zone à Urbaniser en Priorité) avec ses carrés qui représentent les tours et ses linéaires de barres caractéristiques. A la fin des années 1950, la préoccupation des élus est de reloger les Brestois « en dur » dans un contexte d’après guerre. Pour moderniser tout en reconstruisant, un centre universitaire est également créé. Brest II, ville nouvelle, voit le jour. Bellevue se voit équipée de nombreux équipements au service du public (mairie annexe, bibliothèque, patinoire....) autour desquels s'articulent les quartiers périphériques pourvus de quelques équipements de base (groupes scolaires et petits centres commerciaux). Le chantier dure 20 ans (1958-1977) sur une surface de 180 hectares. Idéal de mixité sociale dans les années 1970, le quartier est aujourd’hui victime de paupérisation, les habitants préférant quand ils le peuvent un habitat individuel.
On distingue sur ce zoom, de l’autre côté de la Penfeld, rive droite, un autre quartier, constitué de maisons individuelles. En effet, suite à ce défi architectural et social qui répondait aux besoins de l’après guerre, la nouvelle municipalité dénonce le béton, la densification de l’habitat, l’absence d’espaces verts et promeut l’attrait de l’habitat individuel. Le projet de quartier de la Cavale Blanche voit le jour en 1975.
Enfin, vers l’Est, toujours au Sud de la rocade D205, on distingue des maisons individuelles. Ces constructions spontanées, qui datent des années 1980, sont plus modestes, car plus éloignées du centre ville. Au-delà, de la rocade, les communes de Bohars, Guilers, attirent les propriétaires par des prix immobiliers plus faibles.
Le pays de Brest : une vocation agricole et agroalimentaire
De grandes coopératives et PME structurent le secteur agroalimentaire
On repère sur l’image satellite, la N165, voie express gratuite créée pour désenclaver la Bretagne dans les années 1960. La commune de Plougastel-Daoulas, reliée à Brest par deux ponts, l’ancien pont Albert Louppe et le nouveau pont de l’Iroise, présente un intérêt pour sa composante agricole et agroalimentaire.
Dans le Pays de Brest, les filières laitière (Laïta à Brest), porcine et légumière prédominent. A Plougastel-Daoulas, on produit notamment des fraises. Le maërl, petite algue calcaire, était autrefois récolté comme engrais et amendement pour ces fameuses fraises.
Au sud de la voie express, on distingue un bâtiment étendu aux toitures rectangulaires grises et blanches, il s’agit de l’entreprise Savéol qui est notamment connue pour sa production de tomates sous serre. La présence de ces activités de maraîchage s’expliquent par un fort potentiel agronomique (qualité des sols) et climatologique (climat doux et humide). L’activité agricole couvre 54% du territoire. On trouve 1800 exploitations agricoles dans le Pays de Brest qui emploie avec le secteur agroalimentaire 12 200 personnes.
Le développement des filières alimentaires de proximité de l’agglomération brestoise
Les exploitations favorisant les circuits courts se multiplient sur le Pays de Brest, soit 9% des exploitations du territoire. Il s’agit de développer la vente directe ou via un intermédiaire de produits agricoles. Dans cet objectif, il convient de maîtriser l’étalement urbain.
Références ou compléments bibliographiques
Site GeoImage
Cherbourg : une ville, un port militaire et un arsenal maritime d’importance géostratégique.
Royaume-Uni - Faslane : la base navale sous-marine écossaise au rôle géostratégique
Eléments de bibliographie
Garreau Jacques. Structure et relief de la région de Brest. In: Norois, n°108, Octobre-Décembre 1980. pp. 541-548.
Anne Frémont-Vanacore et Antoine Frémont, Géographie des espaces maritimes, La documentation photographique, n°8104, mars-avril 2015.
Sitographie indicative
La Bretagne : première région française pour la production et la transformation de viande, Linda Deschamps, Kristina Frétière (Draaf Bretagne) - Alain Maillochon, Valérie Molina (Insee Bretagne) Insee Analyses Bretagne, No 32, paru le : 15/01/2016.
Agroalimentaire : la Bretagne championne d’Europe
Our history
CCi métropolitaine Bretagne Ouest
ADEUPa Brest : Impact économique de la défense sur le territoire de la base de défense de Brest-Lorient, Février 2016.
Contributeur
Perrine Gourio, professeure d’histoire-géographie, Lycée Victor Duruy, Bagnères-de-Bigorre