Cinquième ville de France et septième unité urbaine du pays, la ville de Nice se trouve confrontée à de nombreux enjeux d'aménagement du territoire : d'une part il s'agit pour elle de désengorger un réseau de transport largement saturé et développé dans un cadre naturel particulièrement contraignant, d'autre part d'optimiser un potentiel touristique et patrimonial exceptionnel sans nuire à la qualité de vie d'une population essentiellement résidentielle.
Légende de l’image
L’image englobe la quasi-totalité de l'agglomération niçoise. La ville de Nice proprement dite, dans son périmètre communal, est limitée à l'ouest par la vallée du Var dont elle occupe la rive gauche jusqu'à l'aéroport. Au-delà, les communes limitrophes sont celles de St-Laurent du Var, de La Gaude, de St-Jeannet et de Gattières. Au nord, l'autoroute de contournement de la ville, conduisant à Monaco et à la frontière italienne, est bien visible, dominée par les hauteurs de Pessicart, de Gairaut et de Rimiez, quartiers résidentiels et huppés de la proche banlieue niçoise. A l'est, enfin, la vue est limitée le Mont Gros, où se trouve l'observatoire astronomique de Nice), par le Mont Boron et par la rade de Villefranche-sur-mer au sud.
Trois ensembles bien distincts apparaissent d'ouest en est sur l’image :
- La vallée du Var bien repérable par les chenaux anastomosés du fleuve et par le caractère rectiligne de sa plaine d'inondation.
- Les collines de l'Ouest niçois (La Lanterne, Caucade, Fabron, La Madeleine, Magnan et Saint-Philippe).
- L'amphithéâtre principal abritant le coeur de la ville de Nice et la vallée du Paillon à l'est.
Cette image a été prise le 27 avril 2016 par un satellite PLEIADES. Il s’agit d’une image en couleurs naturelles, de résolution native à 0,70m, ré-échantillonnée à 0,5m.
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Présentation de l’image globale
Nice : un site et une situation exceptionnelle
Un site contraignant entre mer et montagne : l’amphithéâtre niçois
On voit bien par la densité du bâti que le coeur de l'agglomération niçoise se love dans un amphithéâtre naturel bordé de toute part par des montagnes ou collines aux pentes très raides et aux altitudes rapidement assez élevées (300 m à Gairaut, 250 m à Rimiez ou St Philippe, 350 m au mont Gros, au mont Boron ou au Vinaigrier). Cet amphithéâtre se présente comme une dépression fortement urbanisée constituée de deux ensembles bien distincts séparés par la colline de Cimiez, lieu choisi par les romains pour établir la cité antique de Cemenelum.
Le premier ensemble, situé à l'ouest, constitue un vaste bassin versant alimenté à l'origine par les ruisseaux de Cap de Croix, de St Barthélémy et des Sablières. Il rassemble aujourd'hui les quartiers St Sylvestre, St Barthélémy, St Maurice, Libération et le quartier de la gare, le long d'un vaste plan incliné s'étirant des collines jusqu'à la mer. La Promenade des Anglais borde au sud ce vaste ensemble depuis Magnan jusqu'à l'embouchure du Paillon.
A l'est et au sud de la colline de Cimiez, la vallée du Paillon structure le paysage urbain selon une diagonale sud-est/nord-est depuis le port historique de Nice (Le port Lympia et les contreforts du mont Boron) jusqu'au quartier de l'Ariane au nord. La plaine d'inondation du fleuve offrant, surtout en rive droite, un assez large éventail de terrains plats, l'urbanisation s'y est développée au fil du temps de manière multiforme (quartier du port, vieille ville, emprises résidentielles et ferroviaires).
Du point de vue historique, il est important de noter qu'au temps des romains, le Paillon constituait déjà une fracture dans le paysage, sa rive droite abritant Cemenelum sur la colline de Cimiez, capitale de la province romaine des Alpes-Maritimes et sa rive gauche Nikaia, cité grecque des origines, dépendant administrativement de la province romaine de Narbonnaise et située au pied de la colline du château.
La décongestion du centre-ville : un enjeu majeur d'aménagement du territoire
La trame du relief s'organisant globalement selon une orientation nord-sud (collines de Magnan, de St Pierre, de Pessicart et hauteurs de Cimiez), le réseau de transport niçois a dû faire face à cette contrainte. Trois grands axes que l'on repère bien sur la photographie traversent ainsi l'agglomération de part en part, d'ouest en est :
Au sud, l'axe le plus naturel et le plus ancien est celui de la promenade des anglais qui a toujours été l'accès le plus direct au centre de Nice et a largement contribué à la renommée de la ville. Espace touristique emblématique, cet axe n'en est pas moins affecté par un fort trafic automobile et par les nuisances qui l'accompagnent : pollution et bruit.
Au coeur de la cité, la voie rapide Pierre Mathis reste l'axe de désengorgement principal de la ville. Quasiment parallèle à la voie ferrée Marseille-Vintimille, elle surplombe la gare de Nice et le tissu urbain environnant. Constituée de ponts intra-urbains, de tranchées couvertes ou de viaducs sur les voies ferrées, elle franchit la colline de Cimiez par un tunnel. Les prouesses techniques qu'il a fallu déployer pour assurer aux niçois une traversée aisée de leur ville sont ainsi spectaculaires.
Le raccordement de la voie Mathis à l'autoroute A8 étant difficile (prévu en 2023), tant à l'ouest au niveau de Magnan, de l'aéroport et de la vallée du Var, qu'à l'est au niveau de la vallée du Paillon, elle est le théâtre de nombreux embouteillages quotidiens. L'aménagement de la voie Mathis reste, au même titre que l'extension du tramway vers l'ouest de l'agglomération niçoise, un enjeu majeur d'aménagement du territoire.
Au nord, le tracé de l'autoroute A8 s'adapte lui aussi aux contraintes du relief. D'ouest en est, l'autoroute franchit ainsi tout d'abord le viaduc de Magnan enjambant le profond vallon du même nom, puis pas moins de cinq tunnels avant de franchir la vallée du Paillon par un nouveau viaduc. Près de 5 000 camions par jour empruntent cet axe à destination ou en provenance de la frontière italienne, ce qui sollicite fortement les infrastructures. L'autoroute A8 est, de surcroît, souvent saturée aux heures de pointe par les liaisons intra-urbaines, cet axe étant le plus rapide pour permettre aux niçois de relier le nord-est à l'ouest de l'agglomération.
Face à ces difficultés, l'Etablissement Public de Coopération Intercommunale, Nice Métropole Côte d'Azur, a lancé un vaste programme d'extension de l'unique ligne de tramway existante vers l'ouest. Cette dernière relie, depuis fin 2018, le quartier du port à la vallée du Var via l'aéroport et le centre-ville selon un axe est-ouest. La nouvelle ligne mesure 11 km, comporte 20 stations, un long tunnel, et devrait éviter, selon les estimations, à plus de 20 000 véhicules de transiter chaque jour par la voie Mathis ou la Promenade des Anglais.
La vallée du Var : la reconquête de l’Ouest…
A l'ouest de l'agglomération niçoise, la vallée du Var apparaît comme une vaste gouttière à fond plat faisant communiquer le littoral et le haut pays. L'autoroute A8 l'emprunte pour bifurquer ensuite vers l'Italie. A son débouché, on repère l'aéroport de Nice dont les pistes ont été largement gagnées sur la mer.
En octobre 1979, lors des travaux d'extension de l'aéroport, un glissement de terrain lié à l'instabilité du canyon sous-marin sis au droit de l'embouchure du Var a d'ailleurs provoqué un tsunami en Baie des Anges, tsunami qui a fait plusieurs victimes. Cela souligne la vulnérabilité de cette vallée exposée à de nombreux risques. Outre le risque sismique, propre à l'ensemble de l'agglomération niçoise, c'est le risque d'inondation qui est ici, associé à l'existence d'un fleuve fantasque sujet à de fortes crues méditerranéennes, le plus prégnant.
Malgré ces risques, la vallée du Var est l'objet, à l'heure actuelle, d'un vaste projet d'aménagement dénommé Eco-vallée. La vallée du Var apparaît en effet comme essentielle pour le développement de la Métropole Nice-Côte d'Azur largement engorgée au centre et à l'est. Dans ce cadre, la nouvelle ligne de tramway dont le terminus se fera dès 2019 au stade alliance Arena (bien visible sur la photographie), desservira l'aéroport, le "Grand Arénas" (futur centre d'affaire international) et l'Eco-quartier Mérida en construction.
Cet espace, longtemps voué à l'agriculture maraîchère et, depuis les années 1960, objet d'un développement assez anarchique (zones commerciales et industrielles nombreuses, champs en friches, hangars et édifices disparates bien visibles sur l'image satellite) a vocation désormais à être repensé et réaménagé dans une perspective de développement durable, en synergie avec les communes limitrophes de la rive droite du Var, de St-Laurent du Var à Carros.
L’amphithéâtre de Nice : De très fortes contraintes de site
Zooms d’étude
Le Port Lympia et le rocher du château
Le rocher du château est l'acropole de Nice. Dès le Vème siècle avant notre ère, les grecs fondent à son pied un comptoir commercial connu sous le nom de Nikaia. Le port antique, situé dans l'anse des Ponchettes – qui correspond à l'échancrure littorale située au sud-ouest du rocher du château - sera relayé au Moyen-âge par une marina, c'est-à-dire un halage sur grève. Au final, le vallon Lympia, largement marécageux, ne sera aménagé en port moderne qu’au milieu du XVIIIèm siècle sur commande de Charles Emmanuel III, roi de Sardaigne, duc de Savoie et prince de Piémont, afin d’offrir à son royaume une nouvelle ouverture maritime et commerciale. Ainsi, malgré son allure de Lacydon, bien identifiable sur la photographie, le port de Nice (Port Lympia) ne date pas de l'antiquité grecque.
Aujourd'hui, confié à la gestion de la Métropole Nice-Côte d'Azur, le port Lympia reste la porte ouverte de Nice sur l'extérieur. Consacré essentiellement au yachting, il dispose cependant d'un vaste quai d'appontement pouvant accueillir les ferries assurant une liaison régulière ave la Corse et la Sardaigne. Port Lympia est aussi un port cimentier qui exporte la production des deux usines de ciment du Paillon situées au Nord de Nice. L'arrivée du tramway à Port Lympia et les aménagements réguliers du port montrent l'importance accordée à ce véritable poumon de la ville par les autorités municipales.
La vue présente aussi au sud-est du port, sur les flancs du Mont Boron, un vaste quartier résidentiel organisé autour de la basse corniche qui conduit jusqu'à Menton. De splendides villas bourgeoises ou Belle Epoque dominant la mer, des folies architecturales comme le Château de l'Anglais ou la villa Beausite parsèment le quartier pour en faire l'un des plus beaux sites de l'agglomération niçoise.
La Basse vallée du Paillon, la coulée verte et la Promenade des Anglais
Le Paillon est un fleuve côtier prend sa source dans les préalpes niçoises et se jette dans la Méditerranée au coeur de la ville de Nice. Cours d'eau méditerranéen typique, ses crues sont redoutées car possiblement dévastatrices. Les crues de 1837, de 1886 et de 1940 sont restées gravées dans la mémoire des Niçois. Depuis, de grands travaux d'endiguement ont permis de dompter le fleuve qui est totalement couvert et souterrain dans sa partie inférieure. Les risques d'inondation demeurent cependant, la nature méditerranéenne du Paillon en faisant toujours une menace pour ses riverains.
L’image montre la coulée verte, vaste promenade arborée de 12 hectares, inaugurée en octobre 2013 et aménagée sur le cours du Paillon en lieu et place de l'ancienne gare routière. Cette promenade est devenue l'un des lieux préférés des Niçois et attire désormais de plus en plus de touristes. Véritable poumon vert de la ville, elle est révélatrice de la volonté des autorités locales d'améliorer en permanence la qualité de vie des Niçois et d'aérer quelque peu un centre-ville très dense, passablement saturé et marqué par l'omniprésence de l'automobile.
Au bout de la coulée verte, à l'embouchure du Paillon, commence la Promenade des Anglais. Cette longue avenue prestigieuse de plus de 8 km de long est bordée de nombreuses résidences et hôtels de luxe dont le fameux hôtel Négresco qu'on ne présente plus. Symbole du tourisme balnéaire de luxe apparu au XIXème siècle, la Promenade des Anglais est désormais étroitement associée à l'identité niçoise.
Au nord de la Promenade des Anglais, de l’embouchure du Paillon à Magnan, apparaît un quartier aux rues rectilignes et se coupant à angle droit. Révélateur de l’expansion urbaine qui frappe Nice dès 1830 et s’accentue en 1860 après son rattachement à La France, le quartier de la Croix de Marbre (aujourd'hui quartier La Buffa), où séjournent les premiers hivernants anglais, devient au XIXème siècle l’archétype du quartier moderne où il fait bon vivre.
La ville s’étend alors largement dans la plaine jusqu’aux collines environnantes selon un plan d’urbanisme qui fait la part belle aux grands boulevards (boulevard Jean Médecin, place Masséna, boulevard Victor Hugo) et aux immeubles bourgeois à l’architecture monumentale. Comme on le voit sur l’image, la ville actuelle reste marquée par le caractère très rectiligne de la morphologie urbaine.
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Le quartier aisé de Cimiez, haut lieu du tourisme britannique et européen de la Belle Epoque.
Cimiez reste aujourd'hui encore l'archétype du quartier bourgeois à Nice. Villas, palais du XIXème siècle et résidences modernes de luxe s'y côtoient, entrecoupés de parcs arborés ou de jardins peuplés d'essences méditerranéennes et exotiques. Ces résidences s'organisent autour du boulevard de Cimiez, inauguré en 1884, que l'on identifie sur l’image par son caractère rectiligne et son orientation sud-ouest-nord-est.
Cimiez reste profondément marqué par l'Histoire. Dès le début du XIXème siècle, le quartier devient en effet le lieu privilégié du tourisme hivernal de luxe. L'aristocratie britannique le choisit pour sa situation exceptionnelle, dominante à l'écart de la plaine littorale, et pour le caractère romantique du site à proximité des ruines romaines de Cemenelum. Il sera tout au long du XIXème siècle, avec le quartier de la Croix de Marbre, un haut lieu de la présence anglaise à Nice.
L'héritage de la présence bourgeoise et aristocratique européenne de la Belle Epoque reste aujourd'hui très prégnante dans le paysage urbain. La vue permet ainsi de bien distinguer au bout du boulevard de Cimiez, au Nord-est, l'hôtel Régina, haut lieu de la villégiature britannique de la fin du XIXème siècle et son parc devant lequel trône une statue de la reine Victoria. A proximité, à l'est, apparaît l'amorce du parc des Arènes et du palais Gubernatis (ancien consul niçois) abritant désormais le musée Matisse.
Plusieurs parcs verdoyants, vestiges de la Belle Epoque, apparaissent aussi sur l’image. Parmi ces parcs, les plus emblématiques demeurent. Le parc du château de Valrose au nord-ouest, domaine de 10 hectares ayant appartenu au baron russe Paul Von Derwies et siège aujourd'hui de l'université de Nice. Le parc de l'ensemble résidentiel des jardins de Cemenelum en bordure du boulevard de Cimiez, vestige du somptueux domaine de la villa Evans (richissime colonel de l'armée britannique). Le parc de la villa Paradisio au sud, bâtie en 1896 par le baron belge Van Zuylen et aujourd'hui propriété de la ville de Nice. Enfin, le parc du domaine de l'Olivetto, domaine appartenant au comte et poète polonais Zygmunt Krasinski, devenu en 1973 le musée Chagall.
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Les collines de Magnan et le quartier du Piol
L'image montre bien le caractère tourmenté des collines de l'ouest niçois et les contraintes qu'elles présentent en terme de circulation. Creusées de vallons profonds et étroits orientés nord-ouest/sud-est, ces collines correspondent à l'ancien delta du Var porté en altitude et largement érodé par les intempéries au fil du temps.
L'urbanisation y a été difficile. Tandis que les fonds de vallons ont constitué très tôt des faubourgs, le long des rues et boulevards (comme le boulevard de la Madeleine à Magnan), l'urbanisation des versants a été plus tardive et compliquée. Lotissements, immeubles modernes et villas ont souvent été construits sur des pentes extrêmement raides. Leur accès se fait encore aujourd'hui par de petites routes sinueuses et étroites. L'urbanisation effrénée des années 1970-1980 a métamorphosé les collines de St-Philippe et de Magnan, ne laissant plus que de rares parcelles vouées à la production horticole ou de rares versants occupés par la forêt.
Au sud-est de l’image, se dévoile le quartier du Piol. Au nord de la rocade (voie Mathis), apparaissent deux bâtiments remarquables, traces du passé prestigieux de ce quartier marqué par la présence russe au XVIIIème et XIXème siècle : la cathédrale orthodoxe russe accompagnée du mausolée du tsarévitch, fils du tsar Alexandre II, et le lycée du Parc Impérial, ancienne résidence-hôtel construite pour accueillir la famille impériale lors de ses visites.
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Le quartier de l'Ariane et la moyenne vallée du Paillon
L’image met bien en évidence le caractère très étroit et exigüe de la vallée du Paillon, véritable gouttière de circulation faisant communiquer le centre de la ville de Nice et les communes intérieures de la Métropole Nice-Côte d'Azur que sont les communes très peuplées de La Trinité, de Comte ou de Drap situées immédiatement au nord-est de l'image.
On voit bien également le rôle stratégique de l'échangeur autoroutier du Paillon qui doit absorber chaque jour, non sans mal, le trafic des niçois effectuant des migrations pendulaires vers la principauté de Monaco ou se rendant en Italie. La vallée du Paillon faisant goulet d'étranglement au niveau de l'échangeur, un vaste projet d'aménagement est à l'étude afin de désengorger le trafic particulièrement saturé du secteur aux heures de pointe.
Plus à l'est, en rive droite du Paillon, apparaît un vaste espace résidentiel marqué par la présence de grands immeubles modernes organisés en blocs plus ou moins géométriques. Il s'agit du quartier de l'Ariane, quartier socialement défavorisé, classé en Zone Urbaine Sensible.
Depuis 2006, le quartier de l'Ariane fait l'objet d'un important programme de rénovation urbaine dans le cadre de la politique de la ville. Piloté par la Métropole Nice Côte d'Azur, ce projet vise à requalifier le quartier en créant de nouveaux logements, commerces et en réaménageant les espaces publics. A terme, le désenclavement du quartier passera certainement par un réaménagement des transports publics et peut-être une extension du tramway afin de relier plus directement la moyenne vallée du Paillon au centre-ville selon le modèle de ce qui s'est fait à Nice-Ouest/Saint-Augustin.
Références et compléments
- Site de l'établissement Public d'Aménagement Nice-Eco-Vallée
- Le site officiel "En ligne avec le tramway" de la Métropole Nice-Côted'Azur
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Image complémentaire : Nice et sa région.
Cette image a été prise le 12 septembre 2018 par le satellite Sentinel-2A.
Cette image est ortho-rectifiée et une correction atmosphérique a été appliquée. Sa résloution est de 20m.
Contributeur
Jean-Marc Noaille, inspecteur d'académie et inspecteur pédagogique régional (IA-IPR), Académie de Nice